Deuxième séance

Suite à une proposition de règle de Laurie que j'ai moi-même publié dans la catégorie Propositions de nouvelles règles, je lance donc le débat sur la suppression des messages.
Donc :

Ordre de la semaine :
Doit-on mettre en place un quatrième article au règlement traitant de l'interdiction de la suppression des messages ?
Doit-on également prendre en compte ce qu'on pourrait appeler l'édition suppressive des messages, c'est-à-dire l'édition de ses propres messages dans le but volontaire de diminuer leur contenu ?

Bon (je me sens visée à chaque fois que vous remettez ça sur le tapis), si vous faites une règle interdisant la suppression des messages, je suis d'accord, mais éditer ses propres messages n'est pas blâmable. Je pense que c'est pour mieux formuler sa pensée, comme quand on fait un brouillon. On peut se rendre compte que son message est mal fait (ou trop long, c'est pour toi que tu dis ça ) une fois envoyé, d'où l'interêt de l'éditer. Et pour corriger des fautes aussi !

Je suis pour la mise en place d'un quatrième article qui interdit la suppression des messages.
En effet, tout message est le travail d'une personne, qui mérite tout à fait qu'on y accorde de l'importance. Cette personne ne peut supprimer ce message, tout particulièrement parce qu'elle n'est pas apte à juger objectivement la valeur de ce message. Cette règle est d'autant plus justifiée, lorsque ce message a reçu des réponses, et que d'une pierre deux coups, les réponses sont supprimées. L'on ne peut encore moins supprimer le travail des autres que le sien.
Cependant, je ne suis pas contre le fait de débattre sur la suppression d'un message, si quelqu'un considère qu'un message doit être supprimé. On peut toujours en discuter, on ne sait jamais peut-être que dans le futur on fera face à des cas particuliers, où un message pourrait être supprimé. Par exemple un message qui accuse injustement ou insulte une autre personne, que sais-je, il peut y avoir mille possibilités !...
Mais dans ce cas-là ce n'est pas la majorité qui l'emporte, mais seulement si personne ne s'oppose à cette suppression. Comme un droit de véto qui annule la suppression.

Par contre, je suis tout à fait d'accord avec Sherwood, éditer un message, c'est l'améliorer. Du moins lorsque je fais cela, c'est pour corriger mes fautes, reformuler mes phrases (surtout lorsqu'elles sont écrites très tard), ajouter une information. Mais si le message a déjà été consulté par les membres du forum, il est plus utile d'écrire un nouveau message lorsque l'on veut y ajouter des informations. Parce qu'avec l'édition, les autres membres ne se rendent pas forcément compte que le message a été modifié...
Je suis pour l'édition des messages.

Par contre, je pense que l'on pourrait ajouter une nouvelle proposition sur l'édition des messages des autres membres.
Est-elle autorisée ?
Me concernant, il m'arrive d'éditer des messages d'autres membres (seulement les tiens Sébou en fait) pour y corriger les fautes d'inattention, qui ne méritent pas que l'on en parle. Mais c'est tout... A vous de juger si cela est déjà trop.

As-tu clôturé les votes de la semaine dernière ?

La suppression des messages doit donc être interdite. Si un message semble déplacé par son côté obsène, délateur, insultant ou autre, l'auteur de ce message sera prévenu et invité à l'éditer. Si cela n'est pas fait dans les plus bref délais ou si l'auteur n'est pas inscrit sur le forum, la suppression du message sera envisagée par un vote rapide de quelques jours. Il reste à définir les modalités de ce vote.

Dans le cas d'une erreur de publication (article en double, mauvais emplacement, etc.) l'auteur est invité à en informer un modérateur (Laurree, Sherwood ou Réanimateur Vixoun') en demandant la suppression, le déplacement du message, etc.

L'édition doit resté autorisée et même encouragée lorsqu'un article peut de cette manière être amélioré.

Ce que j'appelé édition suppressive correspondait au fait d'appauvrir un article en l'éditant et en supprimant des phrases ou des paragraphes entiers. Cette pratique doit être proscrite.